Artiste plasticien, après des études aux beaux arts de Nantes, il s’installe à Bruxelles en 2002. Son travail se concentre sur les notions d’identité et de contexte avec de nombreuses installations graphiques et ornementales en espace public, le plus souvent réalisées en interaction avec le public auquel l’oeuvre est destinée. Ces oeuvres peuvent advenir autant en ville qu’en milieu rural, en entreprise, dans des commerces, chez des particuliers ou autre.
Par curiosité pour les sciences sociales, il s’intéresse à l’ethnographie puis à l’anthropologie. Suite à une révélation foudroyante, il commence à développer une théorie pratique de l’auto-anthropologie qu’il essaye de transmettre à travers des conférences parfois perçues comme des performances par le public.
Julien Celdran collabore avec différents collectifs : Compilothèque, le Buktapaktop, Désorceler la Finance. Il développe également une pratique personnelle de la céramique.
Dans le Cabinet de curiosités économiques, Julien Celdran présente un caddie équipé d’un pangolin rotatif sur le mode du moulin de prière tibétain. Le public est invité à le faire tourner pour diffuser son mantra dans le monde.